La jeune femme qui devint plus tard la Reine de Cœur jactait « le rêve de chaque jeune fille » : elle était fiancée à un prince, l’héritier du Royaume de Kaerok. Elle en parlait constamment à ses nombreuses amies dévouées, les divertissant toutes joyeusement avec ses plans. Seules les « meilleures » personnes seraient invitées et des plats exquis seraient préparés par les plus excellents cuisiniers.
À quelques jours de l’événement, le fiancé de la jeune femme lui envoya un message l’informant que le mariage était annulé. La future reine portait sa robe de mariée, comme elle en avait coutume, s’admirant dans ses miroirs, lorsqu’elle le lut. Elle cria, pleura, hurla. Elle exigea qu’un carrosse l’emmène jusqu’au Château de Kaerok et là, à la cour, dans sa robe blanche, frappa du pied en exigeant que l’injustice soit rectifiée. Les sénéchaux du roi la sortirent de force.
La dame fut ramenée chez elle et là, elle s’enferma dans ses chambres et réduisit sa robe en pièces. Elle hurla chaque jour pendant des semaines, ne mangeant que quelques friandises sucrées. Aucune « amie » ne lui rendit visite. Sa famille, horrifiée et humiliée, la renia.
Ses hurlements prirent fin lorsqu’une jeune femme arriva, demandant à la voir, disant qu’elle était une amie qui pourrait arranger les choses. Ce jour-là, la prétendue Reine quitta le domaine familial et n’y revint jamais. Les griffes du Culte de K’Leth s’étaient emparées d’elle.
Ambitieuse, déterminée et rancunière, elle grimpa avidement dans les rangs du Culte, écrasant les mains et les visages de ses rivaux en cours de route, utilisant sa beauté et sa personnalité tyrannique. Des flagorneurs et des lèche-bottes opportunistes s’attroupèrent autour d’elle. Ceux qui la défiaient ou lui refusaient ce qu’elle désirait étaient humiliés et parfois tués. Elle se donna le nom de Reine de Cœur : d’après elle, elle était une reine légitime et ne méritait rien d’autre que l’amour et l’adoration de tous.
La Reine ne perdit jamais son désir de vengeance. Le prince qui avait brisé ses rêves en avait épousé une autre, une « traînée très mal habillée à cerveau d’Ogryn et à tête d’Orc ». Ils avaient quatre filles. La Reine fit tuer leurs nombreux soupirants. Vin empoisonné, « accidents » de chasse, embuscades, suicides présumés ; ses serviteurs faisaient le nécessaire. Mais ce n’était qu’une partie de son plan.
Les princesses perdirent toutes leurs favoris et accusèrent leur père. Leur colère était mûre pour être manipulée. Déployant ses partisans les plus charmants et les plus élégants, la Reine s’assura que chaque princesse s’enfuie, directement vers elle, avec tout l’or et tous les joyaux qu’elles et leurs « bien-aimés » pouvaient transporter.
Ces victoires firent naître de grands sourires sur le visage de la Reine. Toutefois, elle n’était pas satisfaite : elle n’était pas la Reine de Kaerok. Comment atteindre cet objectif ? Elle faisait chaque jour les cent pas dans ses appartements, le visage écarlate de tension, la langue tirée, mais en vain. Criant « qu’on leur coupe la tête ! », elle fit exécuter des dizaines de conseillers pour leurs « idées idiotes ».
La chance tourna pour elle lorsque l’un de ses assistants, un sorcier parlant en vers connu sous le nom de Chapelier Fou, vint la voir. Il radota, bavassa et chanta à propos des « Seigneurs Insectes » incroyablement puissants de la Forêt de Durham. La Reine n’en avait jamais entendu parler, elle s’était rapidement lassée des études dans sa jeunesse, mais le Chapelier la captiva.
La Reine sut que c’était la réponse. Elle convoqua sa cour, parlant rapidement et avec excitation de son plan, sans remercier le Chapelier, qui consistait à voler ou se lier d’amitié avec les résidents des profondeurs de Durham. Lorsque l’un de ses courtisans les plus fidèles lui conseilla la prudence, elle leva les yeux au ciel et lui dit qu’il était barbant.
La Reine sautilla et piétina à travers Durham, se faisant de nombreux amis, qu’elle trahit tous, et recevant de nombreux cadeaux, qu’elle vola tous. Elle laissa bon nombre de Prêtres Crocs et de maîtresses de maison des Elfes Noirs furieux et revanchards, mais les plus grands ennemis que se fit la Reine furent les Seigneurs Insectes.
Elle ne traita qu’avec leurs serviteurs, comme le Chat du Cheshire, mais cela lui donna un accès suffisant pour « emprunter » certaines choses qui leur appartenaient. Elle ne savait pas ce que c’étaient. Le Chapelier non plus. Mais elles étaient « probablement puissantes ». Le sorcier le découvrirait ou on lui couperait la tête.
Ce n’est qu’une fois de retour dans sa cour que la Reine apprit qu’elle était poursuivie et elle tapa du pied de fureur. Elle aurait les têtes de ses ennemis.
1 评论 sur le forum de discussion pour " Guide sur Reine de Cœur artefact et maîtrise " (仅有法语版本)
Brise les defenses de tous les alliés avec des dégâts basés sur l’attaque. A défaut, la peur absolue empêchera les buffs adverses.(utile contre les araignées mais pas que). L’attaque de groupe efficace avec les bons champions.
可以在复苏区设置死亡标记,但从未有过。
Utilisation plus facile que les renforceurs pour l’instant et et m’a permis de passer assez rapidement du Dragon 20 à 25 et autres donjons et surtout bonne progression en arène.
优先考虑先发制人或再生的速度
Brise les defenses de tous les alliés avec des dégâts basés sur l’attaque. A défaut, la peur absolue empêchera les buffs adverses.(utile contre les araignées mais pas que). L’attaque de groupe efficace avec les bons champions.
可以在复苏区设置死亡标记,但从未有过。
Utilisation plus facile que les renforceurs pour l’instant et et m’a permis de passer assez rapidement du Dragon 20 à 25 et autres donjons et surtout bonne progression en arène.
优先考虑先发制人或再生的速度