De le monter 6*. Je le conseil souvent dans les teams bdc pour son A1 qui augmente les débuffs, ce qui permet d’avoir pendant toute la run du BDC 10 débuffs. Sa propagation des débuffs peut être utile.
Même dans une société de mages noirs intrigants et d’assassins impitoyables, le vizir Ovelis est un homme à craindre. Légende parmi les siens et pair de personne, il est une lame dans l’obscurité qui frappe où elle veut.
En effet, bien qu’on lui ait accordé un titre de respect et qu’il ait été intégré à la noblesse des Elfes noirs, Ovelis n’a d’autre maître que lui-même. Même lorsqu’il était un jeune guerrier, Ovelis était ambitieux et rêvait de s’élever bien au-dessus de son humble condition.
Pour ce faire, il s’est aventuré bien au-delà du domaine de son peuple. Pendant des années, il a cherché des tuteurs et des ennemis auprès desquels apprendre. Pendant des années, il a rassemblé de manière obsessionnelle le folklore et les bribes d’informations qui pourraient lui permettre d’acquérir des objets de pouvoir.
Après tout, Teleria est une terre imprégnée de magie ancienne, où les merveilles et les artefacts du passé sont à la portée de ceux qui ont l’audace de les saisir. Finalement, le destin a souri à Ovelis et une carte est entrée en sa possession.
Elle indiquait l’emplacement de la tombe de Mairenn, un assassin légendaire dont les actes remontent au schisme qui a séparé la race elfique autrefois unie. Grâce à sa ruse, son courage et sa détermination sans faille, Ovelis parvint à pénétrer dans la basilique cachée et à déjouer les nombreux pièges qu’elle renfermait.
Les “alliés” qui l’accompagnaient dans cette aventure périrent jusqu’au dernier, mais cela convenait parfaitement au futur vizir. Il n’avait pas besoin de partager la gloire de cette façon, ni d’avoir un rival pour revendiquer les cimeterres de Mairenn qui reposaient dans son sarcophage au cœur même du complexe. Même si la magie utilisée pour forger ces lames était aussi volatile que l’était, dit-on, leur défunte maîtresse, elles n’en demeuraient pas moins redoutables.
Lorsqu’Ovelis revint, il le fit triomphalement. Fort de ses compétences, de son expérience et de ses armes puissantes, il se fraya un chemin sanglant jusqu’à l’apogée de la société des Elfes Noirs. De nombreux rivaux potentiels furent retrouvés morts dans leurs domaines apparemment impénétrables, tués par le poison ou par la lame.
Il existe peu de récits de ces querelles, bien qu’un seul esclave terrifié ait affirmé que son maître avait été tué par une ombre informe qui se déplaçait sans être entendue et se dissipait dans le néant une fois l’acte accompli. Qu’il s’agisse des illusions d’un malheureux ou d’une puissante magie conjurée par les lames confiées à Ovelis, tout cela reste du domaine de la rumeur et de la spéculation.