Les niveaux de PV de tous les alliés seront amenés au niveau de l’allié qui a le plus de PV. Les niveaux de Compteur de Tour de tous les alliés seront amenés au niveau de l’allié qui a le Compteur de Tour le plus élevé.
Les niveaux de PV de tous les ennemis seront amenés à celui de l’ennemi qui a le moins de PV. Les niveaux de Compteur de Tour de tous les ennemis seront amenés à celui de l’ennemi qui a le Compteur de Tour le plus bas.
次にバフを置く 【挑発】 このチャンピオンに2ターン。
レベル2:クールダウン-1
レベル3:クールダウン-1
A3=ファイナル・ディスク|CD=4回転
Attaque un ennemi. Avant d’attaquer, transfère tous les débuffs de ce Champion sur la cible et soigne ce Champion de 10% de ses PV MAX. Soigne ce Champion de 10% supplémentaires de ses PV MAX pour chaque débuff transféré.
Utilisera toujours cette compétence au lieu de la compétence par défaut lors d’une contre-attaque.
シュヴァリエ部隊
1 派閥の味方:
Avant d’attaquer, retire également tous les buffs sur la cible ennemie. Il est impossible de résister à cet effet si la cible a attaqué ce Champion avant ce tour.
Avant le Culte de K’Leth, il y avait le Temple des Os. Les disciples de cette religion lumayenne basée dans la Ville libre de Narbuk vénéraient les os des saints et des héros. Ils furent dénoncés comme adeptes de la nécromancie lorsque les Croisés rouges lancèrent l’assaut sur Narbuk à la recherche de Marcheurs de Peau, d’Orcs, d’Ogryn et d’Hommes Lézards. Un grand nombre d’entre eux furent tués, le reste s’enfuyant dans la Forêt de Durham ou s’engouffrant profondément dans les catacombes labyrinthiques de Narbuk.
À ce moment-là, Losan K’Leth était membre à la fois de l’Ordre Sacre et du Temple des Os. Impitoyablement ambitieux, il cherchait à obtenir bien plus de pouvoir. Lorsque les croisés arrivèrent à Narbuk, les politiques religieuses de la Ville libre étaient plongées dans la tourmente. En un tourbillon de traîtrise meurtrière, K’Leth fut nommé Mage-Baron du Temple. D’une intelligence féroce, interrogateur habile et mage puissant, il fut plus tard nommé chef.
Une chose que K’Leth cachait à tous les membres de son entourage était sa maladie chronique de l’estomac. Cette condition et tous ses talents entrèrent en jeu durant le Deuxième Conclave des Elfes dans lequel, en tant que membre de l’Ordre Sacré, il jouait un rôle. Là, il apprit l’existence du Rêveur éveillé de la bouche des Elfes Noirs, ainsi que la façon de le contacter.
Pendant des heures, K’Leth discuta avec le Rêveur éveillé… Siroth. La connaissance la plus essentielle qu’il en tira fut celle de la transposition d’âmes. Avec elle, il pouvait transférer son âme dans un corps sain et faire de même pour n’importe qui d’autre. Il utilisa ses nouvelles compétences pour acheter la loyauté du Temple des Os dans la Forêt de Durham et à Narbuk, et le Culte de K’Leth était né. Il pouvait offrir à tous une quasi-immortalité, à condition qu’il y ait un corps-hôte dans lequel transférer leur âme.
Près de trois cent ans plus tard, les vrilles du Culte de K’Leth se sont propagées dans tout Téléria, notamment à Anhelt. Même si les agents d’Aravia et de l’Ordre Sacré sont venus à bout d’innombrables cellules au fil des ans, d’autres les remplacent chaque année. K’Leth règne sur ses adeptes depuis une île-forteresse flottante appelée Perdition, où il est à l’abri des efforts de ses ennemis visant à le trouver et le tuer.
K’Leth sait que pour conserver son pouvoir, il doit être vu et entendu. Ses adeptes ne peuvent pas être autorisés à douter de son pouvoir, de sa dévotion envers eux et encore moins de son existence-même. Mais comment y parvenir ? Même si peu de gens à l’exception de Giath Écu de vérité le savent, il s’est soumis à tant de transpositions d’âme qu’il n’existe désormais plus que sous la forme d’un fragment de celui qu’il fut jadis. Il est en partie maintenu par sa propre nécromancie, un effort qui le met à rude épreuve chaque jour.
Ainsi, K’Leth a inventé la « Représentation ». Il peut piloter magiquement cette armure de plaque et de cotte de mailles, totalement fermée et ornée, avec une fluidité parfaite partout dans le monde en la dirigeant mentalement, tout en restant en sécurité dans ses appartements privés sur Perdition. Il peut voir à travers les orbites du casque de manière plus détaillée qu’il ne le pourrait avec ses propres yeux, parler à travers la grille de sa bouche avec tant de puissance qu’il est impossible de l’ignorer et entendre le grattement d’une souris au fond d’un navire de transport tournoyant et grinçant dans une violente tempête.
D’innombrables protections magiques sont tissées dans les couches métalliques de l’armure, la rendant pratiquement immunisée contre la sorcellerie, et elle a été méticuleusement forgée pour résister aux coups les plus violents : elle pourrait absorber l’impact de la charge d’un étalon de guerre. De plus, K’Leth a magi-fabriqué la Représentation de façon à ce qu’elle soit immunisée contre les éléments. Elle pourrait passer mille ans au fond de la mer sans en devenir moins durable ou flexible.
Il est essentiel que cette armure soit totalement indestructible. Le pilotage de K’Leth laisse une trace de sa propre essence à l’intérieur. Si la Représentation était un jour brisée, un sorcier compétent pourrait l’utiliser pour découvrir où il se trouve.
La Représentation n’est pas seulement formidablement résistante. Avec elle, K’Leth peut éclater le crâne d’un taureau d’un seul coup de poing. Elle est suffisamment forte pour manier le Mot, un immense glaive d’acier solide qui sert non seulement d’arme que K’Leth pourrait utiliser pour décapiter un rhinocéros du Krokhan d’un seul coup, mais également d’étendard de ralliement pour ses cultistes.
K’Leth n’a jamais eu autant besoin de la Représentation. La Secte de Siroth de Bystophus a entraîné une séparation au cœur même du Culte. Il a lancé l’avant-garde de ses Visiteurs de l’aube pour débuter le processus, mais K’Leth doit jouer son rôle. Pour ne rien arranger, des murmures ont atteint K’Leth, selon lesquels la puissance du « Grand Arcaniste » Kelezar s’immisce dans les Terres désolées de Vent-tempête et crée des monstres.
K’Leth sait que cet « imbécile » est tombé par hasard sur la Décréation. C’est une puissance dont il a lui même ressenti une trépidation lors de son exploration et tout ce qu’il a appris à ce sujet lui permet d’être certain qu’elle ne peut être contrôlée. Kelezar lui a forcé la main. La Décréation est désormais l’affaire de K’Leth.