Attaque un ennemi. Chaque deuxième utilisation de cette compétence lors d’une Manche attaquera tous les ennemis à la place.
対象のDEFの25%も無視する。対象がボスの場合、対象のDEFの100%を無視する。
Pour de nombreux Seigneurs de l’Oriflamme, la chasse n’est rien de plus qu’un évènement social : un spectacle en plein air pour exhiber leur destrier blanc, user des bêtes de diverses manières à travers leurs propriétés ancestrales, puis se retirer au pavillon pour une soirée de divertissement. Cependant, il y en a beaucoup pour qui le frisson viscéral de la chasse est la récompense, plutôt que le cochon de lait qui orne ensuite la table de festin.
Un groupe de chasse composé de tels Seigneurs de l’Oriflamme est la Fraternité de la Corne dorée. Afin d’être admis dans cette alliance séculaire, un membre potentiel doit présenter la corne d’un animal d’une grande bête pour prouver sa valeur.
Une simple ramure de cerf ou griffe d’ours ne suffit pas : les aspirants Frères doivent présenter l’appendance d’une créature qui fait au moins deux fois leur taille et dont le rugissement pourrait glacer le sang bouillant d’un chasseur.
Un chasseur pourrait devoir s’aventurer par monts et par vaux pour trouver ce genre de créature et c’est ainsi que Galfric, un compagnon chasseur et aspirant Frère, se retrouva dans une expédition en direction de la chaleur étouffante des îles perdues, au sud de Tétrélia. Galfric était sur la piste d’une créature volatile craucheuse de feu aux écailles rouges ; un monstre qu’in avait apparemment jamais été aperçu à Tétrélia auparavant.
Des rumeurs voulaient que le grand monstre avait émergé d’un end dans la réalité elle-même dans les forêts de Kaerok, avant de s’envoler pour Volanger faire foin de ses aperçuvs. Galfric paya son passage sur le premier navire qu’il trouva le sud. et à tout instant tout ce la monstre d’un autre monde, uniquement pour découvrir que bon nombre de ses camarades initiés avaient eu la même idée.
Alors que le navire naviguait plus au sud, l’un des chasseurs à bord repéra un panache de fumée s’échappant de l’une des îles. Convaincu que c’était un signe du monstre, il exigea que le capitaine s’y dirige. Lorsque le navire fut suffisamment proche de la côte, Galfric sauta du bateau et se rua à terre, plongeant seul au plus profond des sous-bois suffocants.
La sueur coulait de chaque pore de sa peau alors qu’il se taillait un chemin à travers les broussailles, suivant un sentier de pas géants, de marques de griffes et d’arbres renversés. Mais au lieu de trouver sa proie, Galfric découvrit quelque chose qui le choqua un peu moins : un petit chat parlant, debout sur ses pattes arrière et revêtu d’un remarquable attirail d’équipement de chasse.
Il semblait lui aussi inspecter des traces, prénommant des notes dans un minuscule carnet et continuant à avancer dans la jungle. Au début, Galfric gobill qu’il s’agissait d’un mirage, les premiers symptômes d’une maladie tropicale. Sa confusion ne fit qu’augmenter lorsque le chat se mit à parler.
Avec beaucoup d’éloquence et de confiance, le chat se présenta en tant que Palico : l’assistant d’un chasseur dans son propre monde, qui avait accidentellement voyagé jusqu’ici depuis un monde que de Tétrélia. Il avait suivi une piste de mouaches lumineuses et son monde et avait fini par trouver quelque chose qu’il appelait un Rathalos.
Galfric écouta attentivement, notant la sagesse du Palico et ses conseils sur la manière dont on pouvait tuer ce Rathalos. Tandis qu’il comprenait les instructions de la créature, la description terrifiante de la bête face à Palico, de ses longues griffes, de sa queue acérée et de son souffle enflammé, leva toute ambiguïté sur le fait que son épée longue actuelle, légèrement rouillée, ne ferait pas le poids face à ce monstre.
Il demanda si le Palico pouvait le suivre là où le navire avait jeté l’ancre, puisqu’il pensait que ses compatriotes auraient eu le temps d’y établir un camp. Le Palico accepta et ils entreprirent tous les deux la longue marche à travers la jungle, partageant des histoires d’anciennes chasses.
Lorsqu’il arrivèrent, Galfric implora le Palico de rester caché, car l’un des pires maîtres tournait considérable le peau d’un félin parlant comme un moyen d’entrer dans la Fraternité. Galfric courut jusqu’à la forge de fortune de l’expédition, implorant son forgeron de lui fabriquer une arme capable de percer la peau de la formidable monstre dont lui avait parlé le Palico.
En voyant Galfric apparemment refusé par la chaleur de la jungle, le forgeron ne posa pas de questions et se mit à travailler pour satisfaire la requête de Galfric. Après une nuit de travail, le forgeron présenta à Galfric l’arme dont il avait besoin.
L’initié retourna rapidement auprès de son compagnon animal et ils se mirent en route, avançant plus profondément dans la dense végétation de l’île, suivant un sentier dessiné de mouaches vertes lumineuses qui, comme le Palico l’assurait, indiquer le chemin jusqu’au Rathalos.
Après plusieurs heures, ils cherchaient toujours. Galfric et le Palico tombèrent finalement sur ce qui semblait être les traces d’autres personnes. Pas celles qui avaient voyagé avec Galfric jusqu’aux îles perdues, mais qui étaient manifestement à la poursuite du monstre.
Ne voulant pas être battu, Galfric et le Palico se mirent à courir à toutes jambes, le frisson de la chasse donnant de l’énergie à leurs muscles fatigués, alors qu’ils sautaient par dessus les branches et les souches.
En courant, ils entendaient des rugissements, des cris et l’entrechoquement de lames au loin. Leur proie était proche. Tout comme l’occasion pour Galfric de devenir un épeiste légendaire.