7 histoires effrayantes très populaires sur Internet !

Dans notre quotidien, des histoires incroyables se produisent, sans que nous nous en doutions. Dans les lignes qui suivent, découvrons quelques-unes des histoires qui fait peur parfait pour une soirée pyjama !

Première histoire qui fait peur pour soirée pyjama :

Les humains aussi peuvent lécher :

Dans une petite ville isolée de Farmersburg, dans l’Indiana en 1987, vivait une jeune fille nommée Lisa. Ses parents étaient souvent absents, rentrant tard chaque soir. Pour la rassurer, ils décidèrent de lui offrir un chien.

Une nuit, Lisa fut réveillée par un bruit de goutte d’eau. Intriguée, elle se leva et se dirigea vers la salle de bain pour fermer le robinet. Une fois cela fait, elle retourna se coucher et glissa sa main sous son lit, où son chien vint la lécher, la réconfortant.

Cependant, le bruit persistait et Lisa ne parvenait pas à trouver le sommeil. Elle décida donc de retourner dans la salle de bain pour resserrer le robinet. Une fois de plus, elle se recoucha et glissa sa main sous le lit, le chien venant à nouveau la lécher. Mais le bruit persistait, perturbant toujours Lisa.

Déterminée à trouver l’origine du son, elle fit un dernier tour de la maison, mais en vain. Elle retourna donc se coucher et, une fois de plus, glissa sa main sous le lit, le chien la léchant avec douceur. Cependant, le bruit persistait et Lisa décida de localiser sa provenance. Elle se dirigea vers le placard, l’ouvrit et y découvrit une scène d’horreur.

Son chien était suspendu par les pattes arrières, égorgé, et son sang s’écoulait lentement. Sur la porte du placard, un message macabre était écrit en lettres de sang : « LES HUMAINS AUSSI PEUVENT LÉCHER ».

Le meurtrier au crochet droit

1973, à Amherst, dans le Massachusetts. Melany et Thomas, son jeune prétendant, passent une soirée frustrante. L’adolescent a planifié tout ce soir-là, pour un rendez-vous galant avec Melany. Ils se sont rendus dans une clairière à la sortie de la ville, parfait pour séduire la jeune fille. Le couple passe une soirée romantique, jusqu’à ce que la radio fait une annonce urgente : un meurtrier qui s’est échappé d’un asile, à seulement quelques kilomètres d’Amherst. Un détail frappant : l’homme a un crochet au bras droit. Affolée, Mélanie demande à son compagnon de la ramener, mais Thomas tient à la séduire avant de rentrer. La soirée se poursuit calmement jusqu’à ce que des craquements de branches se font entendre. Les jeunes décident de partir, mais, arrivée devant chez elle, Mélanie pousse d’effroyables hurlements en sortant de la voiture, et reste tétanisée. Thomas court à son secours et constate qu’un crochet sanglant est accroché à la poignée de la voiture.

 

(Illustration en image d’un film d’horreur. Image prise sur Internet)

C’était un au revoir…

Ceci raconte la triste histoire d’un père vivant seul avec son jeune garçon dans la région du Midwest aux Etats Unis. Après le travail, il s’est rendu vers le rush pour aller récupérer son fils à l’école.

Arrêté à un feu rouge, il remarque une femme et un petit garçon, sur le bord de la route et encore déguisés, le lendemain d’halloween. Elle agitait sa main vers lui tout en caressant la tête du petit garçon. Le garçon lui aussi s’est mis à agiter sa main, tout en le fixant l’homme des yeux, à travers un masque étrange de chèvre noir. Étonné, il avait remarqué que les réactions du jeune garçon n’étaient pas naturelles, comme si on l’obligeait.

Ces gestes anormaux, le regard fixe de la femme, et le regard suppliant de l’enfant l’ont troublé. Une fois arrivé à l’école, son fils n’était plus là, que sa femme était déjà venue le récupérer. Bémol : il n’a pas de femme. Un mot lui était adressé : « Ne dis pas que je ne t’ai pas donné une chance de lui dire au revoir ».

Une histoire de voisine

En 2015 dans la région parisienne, Lucien vient d’emménager dans un appartement depuis quelques jours. Une nuit, sa voisine frappe à sa porte et le supplie de l’héberger cette nuit car son compagnon la battait et que sa famille viendrait la chercher le lendemain. Le lendemain matin, Lucien ne trouvait plus la femme, seule la couverture était bien pliée sur le sofa…  Le soir, la même femme toc à nouveau à sa porte lui demandant le même service, avec des bleus sur le visage cette fois… Le lendemain, pareil, la femme était partie et la couverture bien pliée… Ces actions se répétèrent toute la semaine, Lucien finit par contacter la police qui, a confirmé que cette femme a été battue à mort par son il y a quelques mois, dans l’immeuble.

Sauver la vie d’une femme lui a coûté la sienne

Lyon, France, 1994. Une jeune infirmière, Nathalie, finit son service à 5h du matin. Après avoir roulé quelque temps, elle remarque une voiture, derrière elle, roulant à vive allure et lui lance des signaux de phares. Paniquée, elle accélère, mais se fait toujours suivre et les signaux d’alerte ne s’arrêtent pas.

Arrivée chez elle, Nathalie s’enferme et appelle la police. Son persécuteur s’approche de la maison et crie : « Enfermez-vous et appelez la Police !! ». À travers la fenêtre, elle aperçoit l’homme, en train de se faire attaquer sauvagement au couteau. Une fois les secours sur place, elle s’est rendu compte que ce pauvre homme voulait la prévenir qu’un assassin s’était glissé à l’arrière de sa voiture.

Tueur et psychopathe

Au Royaume-Uni, Hélen, 16 ans, travaille comme baby sitter. Ce soir, elle garde 3 enfants, et a l’habitude de s’installer au salon avec son livre, une fois que les enfants sont couchés. Le téléphone fixe sonne, mais personne au bout du fil. Il sonne à nouveau et cette fois, elle entend : « Es-tu allée voir les enfants ? », puis la personne a raccroché. Le téléphone retentit à nouveau et répète la même question, Hélen pensait donc qu’il s’agissait du père des enfants.

Inquiète, elle essaie de contacter les parents mais en vain. Puis, la personne rappelle à nouveau et demande : « Pourquoi n’es-tu pas allée voir les enfants ? ». Elle contacte la police, mais habituée aux canulars téléphoniques, l’agent lui dit que le prochain appel sera tracé. Le téléphone sonne à nouveau et lui demande : « Pourquoi as-tu éteint les lumières ? » « Je te vois tu sais. ». Plus qu’effrayée, elle se plie à son harceleur et lui avoue sa peur en insistant pour savoir ce qu’il lui veut. « Je veux me baigner dans ton sang » dit-il. Au prochain appel, elle cria : « Laissez-moi !» mais elle entendit : « Hélen, c’est la police ! Sors tout de suite de la maison, l’appel a été tracé et il provient de l’une des chambres ». Une fois dehors, et à l’arrivée des policiers, elle voit un homme menotté baigné de sang…. Le sang des 3 enfants.

Mary Blood

(Illustration en image de Mary blood. Image prise sur Internet)

En 1997, une fillette de 9 ans nommée Anna, invite ses amis à une soirée pyjama. Une amie raconte l’histoire de Mary Worth, victime d’un grave accident, qui l’a défiguré, à un point qu’elle ne se regarde plus dans le miroir. Les parents se sont alors débarrassés de tous les miroirs de la maison, sauf du leur, dans la salle de bain. Mais Mary réussit à y entrer, et s’est mise dans tous ses états après avoir vu son visage. La légende raconte qu’elle voulait tellement retrouver son ancien visage qu’elle a foncé dans le miroir, puis a disparu, et a promis de défigurer n’importe qui voudra voir son visage méconnaissable.

C’est alors qu’Anna et ses amis ont tenté de chercher ce visage, en appelant Blood Mary Blood Mary, face à un miroir. Soudain, un hurlement se fit entendre de la salle de bain : l’une des filles se tenait devant le miroir, le visage couvert d’entailles, de griffures, et de sang.

Vous aimez ? Partagez-le !

Ce contenu a été écrit par un Français (Voir le rédacteur ou la rédactrice juste ci-dessous.). Il a été traduit dans différentes langues avec Deepl et/ou l'API Google Traduction pour offrir de l'aide dans le plus grand nombre de pays possible, puis relu. Cette traduction nous coûte plusieurs milliers d'euros par mois. Si elle n'est pas parfaite à 100 %, laissez-nous un commentaire pour que nous puissions la revoir. Si vous êtes intéressé(e) par la relecture et l'amélioration de la qualité d'articles traduits, n'hésitez pas à nous envoyer un mail via le formulaire de contact !
Nous apprécions grandement vos retours pour améliorer notre contenu. Si vous souhaitez suggérer des améliorations, veuillez utiliser notre formulaire de contact ou laisser un commentaire ci-dessous. Votre avis contribue à l'excellence de notre site Alucare.fr !

Alucare est un média indépendant. Soutenez-nous en nous ajoutant à vos favoris Google Actualités :

Publiez un commentaire