Remplit également le Compteur de Tour de cet allié d’une quantité égale au pourcentage de PV qui lui manque. Enfin, le Compteur de Tour de ce Champion de la même valeur.
このチャンピオンはデバフを受けない [アクティブスキルをブロックする] et les effets d’augmentation des temps de recharge.
2 派閥の味方:
Active instantanément cette compétence dès que les PV d’un allié tombent sous les 50%. L’activation instantanée de cette compétence ne la placera pas en temps de recharge.
3 派閥の同盟国:
デバフに対抗することは不可能 [挑発] このスキルによって配置される。
によるダメージ:
PV
乗数: 0.3
[P] アウトサイダーズ|CD=1ラップ
体力が50%以下の味方は30%多くダメージを与える。
オーク・ユニット
1 派閥の味方:
体力が50%以下の味方は受けるダメージが30%減少する。
2 派閥の味方:
Dès qu’un allié ou un ennemi meurt, augmente les PV, l’attaque, la défense et la vitesse de tous les alliés de 5% (s’accumule jusqu’à 25%).
3 派閥の同盟国:
Dès qu’un allié tue un ennemi, accorde un Tour instantané à cet allié. Se produit une fois par allié et par Manche.
Lorsque Siroth lança la Deuxième Grande guerre, le monde entier retint son souffle. Des trêves furent conclues, des alliances formées, des rancunes mises de côté et presque toutes les autres préoccupations devinrent insignifiantes. Des héros émergèrent et mobilisèrent leur peuple, car tous les habitants de Teleria savaient qu’ils allaient devoir se serrer les coudes et combattre s’ils ne voulaient pas être détruits.
L’un des plus grands chefs de la Guerre fut Aragaz, appelé Roi-sauvage pour son affinité avec les étendues sauvages et leurs créatures, particulièrement les hyènes, dont il fit son animal totem. Depuis sa jeunesse, il admirait leur férocité et leur ténacité individuelles, ainsi que leur coopération communautaire, les craignant autant qu’il les respectait.
Aragaz était à un moment donné un improbable guerrier. Il faisait partie d’un clan d’Orcs des Collines du Crépuscule, dont les membres étaient en proie à la faim, à la soif, aux intempéries et aux prédateurs. Aragaz haïssait la lutte pour la survie, les sacrifices, le sentiment ancestral d’aliénation. Il pensait que les Orcs devraient avoir une place parmi les citadins et les compagnards des grands royaumes et cités-états, se réconciliant.
Davantage encore que l’assimilation des Orcs, il souhaitait qu’ils s’acceptent les uns les autres : pour lui, la guerre intermittente constante entre les clans d’Orcs était tragiquement déraisonnable. Cette façon de voir les choses l’aurait fait passer pour lâche et pathétique aux yeux de ses camarades de clan, voire subversif, donc il tenait sa langue.
Après deux décennies de ressentiment larvé, Aragaz revint d’une chasse de routine et découvrit des Rejetons Démoniaques difformes et couverts de sang, qui constituaient l’avant-garde de la Deuxième Grande guerre, réduisant à néant la crème des guerriers de son clan.
Aragaz chargea au milieu des Rejetons Démoniaques par l’arrière, les prenant par surprise et offrant un moment de répit aux Orcs assaillis. Mais ils étaient épuisés et terrifiés, et la victoire était impossible, donc Aragaz les exhorta à battre en retraite et se regrouper.
Les chefs du clan étaient tous morts. Aragaz suggéra aux survivants de son clan d’unir leurs forces à ceux d’anciens clans rivaux qui, comme ils le découvrirent, avaient également été assaillis par les Rejetons Démoniaques. Il était un négociateur bourru, agressif et intransigeant, qui manquait de charme et de charisme.
Mais sa logique lucide força son propre peuple et les survivants des autres clans à concéder qu’ils n’auraient une chance qu’en travaillant ensemble. Aragaz et ses fidèles campèrent dans les collines, acceptant les Orcs réfugiés qu’ils rencontreraient. Ils lancèrent également une campagne de guérilla contre les Rejetons Démoniaques.
Adoptant les tactiques rusées des clans de hyènes, Aragaz harcela et tourmenta les envahisseurs, amenuisant leurs rangs et se fondant dans le paysage lorsqu’ils attaquaient en force. Il utilisa de faux pavillons et des lettres falsifiées pour envoyer les forces des Rejetons Démoniaques dans des engagements coûteux.
Des feintes d’attaques en plusieurs directions étirèrent les défenses des camps des Rejetons Démoniaques, avant qu’Aragaz ne mène une charge frontale dans leur cœur, ricanant et hurlant comme l’alpha d’un clan de hyènes. Les Orcs sous son commandement trouvèrent, au début, que ses stratagèmes sournois et perfides étaient peu glorieux. Mais avec la victoire vint la reconnaissance et, finalement, l’estime. Les Orcs affluèrent sous ses bannières.
Après des mois de rudes combats et de vie difficile, Aragaz repoussa les Rejetons Démoniaques hors d’une grande partie des Collines du Crépuscule. Poussant dans le Désert de Krokhan, il rencontra des armées placées sous le commandement direct de l’Arbitre, récupérant de leurs propres batailles. Il se hâta d’offrir ses forces pour rejoindre leur cause, mais lorsque les Humains et les Elfes virent une horde d’Orcs qui approchait, ils réagirent avec hostilité.
Même lorsque les Porteurs de lumière firent office de médiateurs pour assurer qu’ils travaillent tous ensemble au sein de la grande coalition de l’Arbitre, les anciens préjudices contre les Orcs furent impossibles à effacer. L’adoption totémique des hyènes par Aragaz n’aida pas, puisque les bêtes étaient associées à la mort, aux maladies et à la malice aux yeux du monde “civilisé”.
Ses forces remportèrent de nombreux triomphes, interrompant les principales lignes d’approvisionnement et de renseignements de l’ennemi. Plus d’une fois, les interventions de ses forces sauvèrent des éléments des forces de l’Arbitre au bord de la destruction, parfois avec de lourdes pertes du côté des Orcs. Quoi qu’il arrive, ses efforts étaient négligés et dénigrés par les non-Orcs.
Dans les dernières semaines de la Grande guerre, l’ancienne conviction d’Aragaz selon laquelle les Orcs devaient chercher à établir un partenariat avec les autres peuples de Téléria avait été détruite. Ses Orcs lui étaient, à ce moment-là, farouchement fidèles, ayant depuis longtemps transcendé les différends entre leurs clans et cessé toutes les querelles internes sous sa direction.
Si cela devait être son héritage, il était satisfait : si le reste de Téléria dédaignait les Orcs quoi qu’il arrive, les Orcs resteraient unis contre le monde qui les méprisait tant. Pendant les générations qui suivirent, Aragaz fut connu en tant que symbole de la fierté et de la dignité obstinées des Orcs, de leur réticence vis-à-vis de tout effort de paix ou de refus d’accepter passivement les mauvais traitements de leurs oppresseurs.
Il a été commémoré pour ses actes, lesquels sont aujourd’hui la source de fierté féroce des fidèles et des admirateurs. Aujourd’hui encore, de nombreux Orcs des Collines du Crépuscule choisissent la hyène comme créature totémique et chantent les louanges du Roi-sauvage.